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Couple

Découvrez les pires « tue l’amour » qui font fuir même les plus indulgents

Trouver l’âme sœur n’est déjà pas une mince affaire, mais la maintenir à nos côtés peut s’avérer encore plus complexe. En effet, certains comportements ou défauts peuvent rapidement devenir des « tue l’amour » rédhibitoires, mettant à mal la plus belle des histoires d’amour. Mais quels sont ces fameux « tue l’amour » qui font fuir même les plus indulgents ? Une étude australienne menée auprès de 5 500 célibataires a levé le voile sur ce sujet épineux.

Les principaux « tue l’amour » identifiés par l’étude

Selon les résultats de cette enquête approfondie, il existerait 17 principaux « tue l’amour » susceptibles de compromettre une relation amoureuse. Parmi eux, on retrouve des éléments aussi bien physiques que psychologiques, avec des différences notables entre les hommes et les femmes.

Le manque d’hygiène pour 67% des sondés

Sans grande surprise, le manque d’hygiène se hisse en tête du classement, étant considéré comme le pire « tue l’amour » par 67% des personnes interrogées. Cette proportion atteint même 71% chez les femmes, contre 63% chez les hommes. Une mauvaise odeur corporelle ou des pieds négligés peuvent donc rapidement faire fuir l’élu(e) de son cœur.

La paresse, numéro un chez les femmes

Vient ensuite la paresse, citée par 66% de l’ensemble des sondés, mais qui s’avère être le « tue l’amour » numéro un chez les femmes, avec 72% d’entre elles qui le considèrent comme rédhibitoire. Du côté des hommes, ce chiffre n’est que de 60%.

Une demande d’affection trop grande, un frein majeur pour 63% des participants

Autre comportement jugé rebutant par 63% des participants : une demande d’affection trop importante. Là encore, les femmes sont plus sensibles à ce point, puisque 69% d’entre elles le perçoivent comme un « tue l’amour », contre 57% des hommes.

Le manque d’humour, un frein pour 54% des sondés

Le manque d’humour figure également parmi les principaux « tue l’amour », étant cité par 54% de l’ensemble des personnes interrogées. Cette proportion atteint 58% chez les femmes, contre seulement 50% chez les hommes.

La distance géographique, un obstacle pour près de la moitié des sondés

Vivre loin de l’autre semble également être un frein pour 49% des participants, avec des disparités selon le genre : 51% des hommes contre 47% des femmes considèrent la distance comme un « tue l’amour ».

Être nul(le) au lit, un repoussoir pour 47% des sondés

Autre élément rédhibitoire : être jugé(e) mauvais(e) amant(e). Ce critère est cité par 47% de l’ensemble des répondants, avec là encore des différences significatives entre hommes (44%) et femmes (50%).

Le manque de confiance en soi, un obstacle pour 40% des participants

Le manque de confiance en soi est également perçu comme un « tue l’amour » par 40% des sondés, mais cette proportion atteint 47% chez les femmes, contre seulement 33% chez les hommes.

Passer trop de temps derrière un écran, un frein pour 33% des participants

Être « trop geek », c’est-à-dire passer trop de temps derrière un écran, est considéré comme un « tue l’amour » par 33% des personnes interrogées. Là encore, les femmes sont plus sensibles à ce critère, avec 41% d’entre elles qui le jugent rédhibitoire, contre seulement 25% des hommes.

Le manque de libido, un obstacle pour 33% des sondés

Le manque de libido figure également parmi les « tue l’amour » les plus cités, étant mentionné par 33% des participants. Cependant, on observe ici une différence notable entre les hommes (39%) et les femmes (27%), ces dernières semblant moins préoccupées par ce critère.

Être trop têtu(e), un frein pour 33% des sondés

Être trop têtu(e) est également perçu comme un « tue l’amour » par 33% des personnes interrogées, avec peu de différences entre les hommes (32%) et les femmes (34%).

Être trop bavard(e), un repoussoir pour 23% des participants

Être trop bavard(e) est quant à lui considéré comme un « tue l’amour » par 23% des sondés, les hommes étant plus sensibles à ce critère que les femmes (26% contre 20%).

Être trop timide ou trop direct, un frein pour 14% des participants

Enfin, les derniers « tue l’amour » identifiés par l’étude sont le fait d’être trop timide ou, à l’inverse, trop direct, chacun de ces critères étant cité par 14% des personnes interrogées.

Des différences notables entre hommes et femmes

Cette étude révèle donc des différences significatives entre les hommes et les femmes concernant les « tue l’amour » les plus rédhibitoires. Si certains éléments font consensus, comme le manque d’hygiène ou la paresse, d’autres critères sont beaucoup plus prégnants chez l’un ou l’autre sexe.

Ainsi, les femmes semblent davantage rebutées par une demande d’affection trop importante, le manque de confiance en soi ou le fait d’être « trop geek », tandis que les hommes sont plus sensibles au manque de libido ou au fait d’être trop bavard(e).

Ces différences de perception soulignent l’importance de bien se connaître mutuellement et de communiquer ouvertement sur ses attentes et ses limites dans un couple, afin d’éviter les malentendus et les déceptions.

Travailler sur soi pour séduire et durer

Au-delà des critères identifiés par cette étude, il est essentiel de garder à l’esprit que chaque personne est unique et que les « tue l’amour » peuvent varier grandement d’un individu à l’autre. Le plus important est donc de rester à l’écoute de son/sa partenaire, de travailler sur ses propres défauts et de faire preuve de flexibilité et d’adaptation pour entretenir une relation épanouie et durable.

Car l’amour n’est pas une fin en soi, mais bien un chemin à parcourir ensemble, fait de compromis, de compréhension mutuelle et de remise en question permanente. C’est à ce prix que l’on peut espérer vivre une histoire d’amour qui résiste aux épreuves du temps.

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Annie Vincent

Ma passion pour la santé et la nutrition est profonde et durable. Depuis que je suis jeune, j'ai toujours été fascinée par le lien entre ce que nous mangeons et comment cela affecte notre corps et notre esprit. Mon parcours dans le domaine de la santé et de la nutrition a commencé lorsque j'ai décidé de prendre en main ma propre santé.