Ce calcul mathématique de niveau collège divise les internautes
Il peut être surprenant de constater que même les individus les plus doués en mathématiques peuvent être déconcertés par des questions simples en apparence. À l’inverse, certaines personnes peuvent trouver des solutions en un instant. Plongeons dans le monde fascinant des énigmes mathématiques, explorer pourquoi elles deviennent virales, comprendre l’importance des compétences en déduction et analyse pour les résoudre et découvrir comment nos neurotransmetteurs peuvent influencer nos aptitudes mathématiques.
Le charme des énigmes mathématiques
Les énigmes mathématiques ont le pouvoir d’exciter l’esprit et de mettre à défi nos compétences en résolution de problèmes. Elles ont souvent tendance à devenir virales, car elles proposent des défis qui paraissent à la fois simples et compliqués.
Un exemple récent est une énigme mathématique de niveau scolaire qui a laissé perplexe de nombreux internautes âgés de 20 à 30 ans. Cette énigme, qui impliquait une série d’opérations arithmétiques basiques, a dérouté de nombreux internautes. Pourtant, en respectant les principes fondamentaux des mathématiques, la réponse n’était pas si difficile à déceler.
Le rôle de l’analyse et de la déduction
Les énigmes mathématiques mettent souvent en valeur notre capacité à analyser et à déduire des informations, plutôt que nos connaissances mathématiques pures. Ces compétences sont cruciales pour résoudre des problèmes complexes et sont également évaluées lors des tests de quotient intellectuel (QI).
Les compétences mathématiques et la personnalité
Les énigmes mathématiques peuvent également nous donner des indications sur notre personnalité et la manière dont les autres nous voient. En comprenant comment nous abordons et résolvons les problèmes, nous pouvons mieux comprendre nos forces et nos faiblesses, et comment nous interagissons avec les autres.
Les neurotransmetteurs et les compétences mathématiques
Les compétences en mathématiques sont un sujet d’étude pour la science. Les chercheurs se sont demandé si les enseignants de mathématiques et les prodiges de l’arithmétique pouvaient être nés avec un avantage biologique. Une étude a cherché à déterminer si les compétences mathématiques d’une personne étaient liées aux concentrations de deux neurotransmetteurs clés impliqués dans l’apprentissage : le GABA et le glutamate.
Les recherches de l’université d’oxford
Des chercheurs en neurosciences cognitives de l’Université d’Oxford au Royaume-Uni ont étudié les niveaux de GABA et de glutamate dans le cerveau pour voir si ces neurotransmetteurs pouvaient prédire les compétences mathématiques futures. Leurs niveaux fluctuent tout au long de la vie.
Les résultats de l’étude
Les chercheurs ont non seulement trouvé un lien entre les compétences mathématiques et les niveaux de neurotransmetteurs, mais ils ont également constaté que ces niveaux changeaient à mesure que les enfants grandissaient et devenaient adultes. Ces recherches ont été publiées dans la revue PLOS Biology.
Mettez vos compétences à l’épreuve
Il est maintenant temps de mettre vos compétences à l’épreuve. Essayez de résoudre l’énigme des chiffres présentée ci-dessus et défiez vos amis ou collègues. Ne vous découragez pas si vous ne trouvez pas la réponse tout de suite, car seulement quelques personnes sont capables de résoudre cette énigme.
La solution de l’énigme
Concernant l’énigme, il est crucial d’adopter une approche pragmatique et d’identifier les opérations prioritaires. En ce qui concerne le programme de mathématiques de quatrième, la multiplication et la division doivent être effectuées avant l’addition et la soustraction. Par conséquent, il n’est pas approprié de calculer les additions et soustractions de manière linéaire, car cela conduirait à des résultats erronés.
En premier lieu, il est essentiel d’adopter une approche pragmatique et d’identifier les opérations prioritaires. En ce qui concerne le programme de mathématiques de quatrième, la multiplication et la division doivent être effectuées avant l’addition et la soustraction.
Par conséquent, il n’est pas approprié de calculer les additions et soustractions de manière linéaire, comme par exemple en effectuant d’abord 9 – 3, puis 6 – (1/3) et ensuite 18 + 1, car cela conduirait à des résultats erronés, comme c’est le cas pour la plupart des internautes.
Cependant, il reste la question de la fraction. Comment procéder à sa division ? En réalité, il faut utiliser une méthode appelée « multiplication inverse ». Ainsi, il faut multiplier le numérateur par le dénominateur qui est également égal à 3.
Donc, l’expression devient (9 – 3×3 + 1). Par la suite, il suffit de multiplier les numérateurs et les dénominateurs entre eux afin de simplifier la fraction. Ainsi, (3×3/1) équivaut à 9. Il ne reste plus qu’à calculer le tout : 9 – 9 + 1 = 1. Et voilà, le tour est joué.